MARCHANDE, la place de la Fusterie, ancien port au XVe siècle. Son nom vient des fustes, longues pièces de bois de construction que l’on débarquait et entreposait à cet endroit. Les fustiers vidèrent les lieux lorsque le temple fut édifié en 1715, après la seconde vague de réfugiés protestants venus à Genève à la suite de la révocation de l’Edit de Nantes en 1685. Il s’agissait de réaliser le premier lieu de culte calviniste. La construction de ce temple changea définitivement l’usage de la place.
MARCHANDE, l’animation qui règne quotidiennement dans cet environnement piétonnier, avec son marché de détail où se côtoient, alimentation, fleurs et petite restauration les mercredis et samedis. Le jeudi fait place à l’artisanat. Quant aux mardis et vendredis, c’est au tour des livres. Ici, en plein cœur de la ville, sacré et profane font bon ménage. Les enseignes de grand luxe telles que Audemars Piguet et Bulgari ou atypiques comme le club-restaurant Le Baroque cohabitent près du temple.
MARCHANDE, la place de la Fusterie, ancien port au XVe siècle. Son nom vient des fustes, longues pièces de bois de construction que l’on débarquait et entreposait à cet endroit. Les fustiers vidèrent les lieux lorsque le temple fut édifié en 1715, après la seconde vague de réfugiés protestants venus à Genève à la suite de la révocation de l’Edit de Nantes en 1685. Il s’agissait de réaliser le premier lieu de culte calviniste. La construction de ce temple changea définitivement l’usage de la place.
MARCHANDE, l’animation qui règne quotidiennement dans cet environnement piétonnier, avec son marché de détail où se côtoient, alimentation, fleurs et petite restauration les mercredis et samedis. Le jeudi fait place à l’artisanat. Quant aux mardis et vendredis, c’est au tour des livres. Ici, en plein cœur de la ville, sacré et profane font bon ménage. Les enseignes de grand luxe telles que Audemars Piguet et Bulgari ou atypiques comme le club-restaurant Le Baroque cohabitent près du temple.